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Perdu dans la révolution

6 juin 2015

Chapitre 4

1783.

  La petite calèche, qui porta les biens les plus vitaux, voyagera légèrement le long du chemin de pierre pavée à travers la vallée. La calèche s’est attelée à cheval gris avec des taches blanches.

  Moi et mon père étions assis dans le cocher de siège, tandis que la calèche était plein d’atouts essentiels afin de ne pas se mouiller par la pluie qui pourrait tomber à ne importe quel moment. Le ciel était sombre, le soleil était caché derrière les nuages sombres et le fond était orné de montagnes, plaines, vallées et forêts. Le point de vue de l'horizon ici était large, et la vue était à couper le souffle.

  - Papa, où allons-nous ?  Demandais-je.

  - La ville de Versailles. Elle est très lointaine d'ici. Il m’a expliqué.

  - Pour toujours ? J’ai pris toutes les choses importantes dans mon sac bordeaux que tu m’a donné.

  - Pas pour toujours, mais le temps n'est pas connue. Nous quittons Grenoble.

  - J’ai faim, et je m’ennuie.

  - Bientôt, nous allons atteindre l'auberge et nous aurons notre déjeuner. Et je te promis que Je prendrai des cours de cuisine

   Mon père m’a dit et nous avons tous deux commencé de rire.

  - Pour l'instant, veux-tu lire un conte?

  - Oui, de quel livre dans cette fois?  Demandais-je avec impatience.

  - Robin des bois 

  Mon père a pris le livre à partir de son sac. Il tenait les rênes du cheval sur la main gauche et a ouvert le livre sur la première page. Je m’accrochais à lui et regardais le texte.

  - Il était une fois en Angleterre, un jeune homme bien joli nommé de Robin des bois. Sa résidence fût profond dans les bois, où il a vécu dans un grand arbre et bien caché dans les arbres, avec ses unités de gangs on les appelait les gens heureux.

  - Quel est l'Angleterre? C’est une ville en France? Demandais-je.

  - C’est un grand pays fameux d'outre-mer. J’en ai visité dans ma jeunesse avec ta mère. 

  Je hochais la tête en accord, et mon père a continué de lire le conte.

  Il a lu jusqu’à deuxième épisode, et on continuait à voyager en silence. De temps en temps, j’ai parlé avec lui, et de temps à autre nous nous tais. Mon père m’a habillé une cape émeraude-sombrée. Quand il la pluie tomba, il m’a forcé de se couvrir la tête avec un capuchon.

  La tombée de la nuit nous menaça. Nous laissant avec peu de kilomètres de voyager pour atteindre la ville la plus proche, Voiron. Soudain, il y avait un tir puissant qui a fait tous les oiseaux qui assis sur les arbres proximités de fuir dans la panique.
  Mon père a arrêté la calèche, et je m’accrochais à lui effrayée. À travers les buissons une paire de dérobeurs ont sauté. Ils se sont habillé de vêtements lambeaux et usés, et l'un de quiconque portaient même un cataplasme sur l’œil.

  - Papa, oh non ! Ce sont des pirates qui ont migré vers la terre ! Murmurais-je inintelligible dans la panique.

  - Donnez-moi tout l'argent, aristocrates ! Déclara un d’eux en menaçant et misais un pistolet sur le nez de mon père. Je sursautais en alarme et reculais que je le pouvais.

  - Nous ne sommes pas des aristocrates.

  - Puis expliquez vos vêtements luxueux ! Déclara le dérobeur avec le cataplasme. Il puait du vin.

  - Je suis un aubergiste avec une auberge avec succès, donc j’ai assez d'argent pour acheter de beaux vêtements ? 

  - Ensuite, vous avez également de l'argent pour nous. C’est pour le bénéfice des nécessiteux !

  - Je suis désolé, Monsieur. Mais j’ai besoin de cet argent. Il en face de moi un long chemin 

  - Taisez-vous, aristocrate!  Cria le dérobeur avec le cataplasme. Sa bouche puait même plus du vin.

  - Il y a des gens sans pain! 

  - Moi pareil Je ne reçois pas du pain facilement. Désolé Monsieur, si j’étais un noble j’aurais aidé pour les pauvres, mais aussi les vêtements n’indiquent pas une meilleure situation économique. Mon auberge a été brûlée et je n’ai rien. S’il vous plaît, laissez-moi.

   C’est incroyable que j’ai lu une histoire à propos de Robin des buis et après je suis tombé sur ses imitations pauvres.

  - Menteur!  Le premier dérobeur a crié.

  Sans avoir à répondre un mot, mon père a frappé les rênes rapidement et la calèche commença à galoper rapidement. Mais malheureusement, nous avons été confrontés une diminution particulièrement dépendante, et nous avons dû tenir serré pour ne pas glisser.
  Les dérobeurs ont commencé à nous tirer dessus, et ils ont frappé les roues de la calèche. Une roue s’est effondrée, et avec lui nous nous sommes tout effondrés vers le bas. Le cheval avait peur et hystérie, et courut rapidement et exacerber les dommages causés à la calèche.

  Mon père s’est arrêté rapidement, et la calèche a continué à être tirée par la fin de la pente. Le cheval s’est arrêté complètement au bas de la pente. Il a immédiatement précipité pour le rassurer.

  -  Rassures-toi, tout est bien, mignon 

 Murmura-t-il apaisant mots tout en caressant son tête et la tête en général.

  Je lui regardais terrifiée et confus, et mes cheveux étaient sauvages comme d’un chat effrayé. Soudain, Soudain, il y avait un tir. C’était comme mon père a senti une douleur aiguë sur son dos. L'épaule de lui a été remplie de sang. Il laissa un gémissement douloureux et s’est effondré sur le sol.

  - Vous le méritez, aristocrate misérable. Pour avoir supplicié le peuple!  S’écria un cri cruel.

  - Je ne suis, pas, un, aristocrate,  Il a répondu avec difficulté.

  Mais les dérobeurs étaient partis et nous ont laissé seul à la dernière. Quand j’ai pensé que cela aurait pu être pire, il a commencé à pleuvoir.

  Il tenait son dos avec ses mains, (dans une position inconfortable en effet) ainsi il a senti le sang tacher mes mains. Je suppose que si j’étais à sa place, je poussais un gémissement faible de la douleur et ne pouvais pas bouger du tout. J’ai démissionnée de ce qui restait de la calèche et je me penchais vers lui.

  - Papa! Papa!  Ai-je criée en panique.

  - Es-tu d'accord?! 

   - Oui ....  Il m’a menti. Il ne voulait pas m'inquiéter.

  - Viens alors appeler au secours

  - Mais comment papa? 

  - Prends le cheval, essayez d'utiliser ce que tu as appris, même si je n’ai pas fini de t’apprendre à monter.

  Mon père a lutté avec la douleur. Je suppose que si j’étais à sa place, je sentais que chacun mot que je dis, des milles couteaux percent mon dos.

  - Seulement, je ne comprends pas comment tu grimperas sur lui, c’est trop élevé pour toi 

  Mais avant qu’il puisse finir la phrase, J’ai tournée vers la calèche.

  J’ai pris mon sac. Tout d’abord, j’ai relâché les harnais de cheval, ensuite, je le conduit à un arbre, j’ai grimpée l'arbre et a sauté sur son dos.

  - J'essyerai de revenir bientôt, Papa !

  Mon père a posé sa tête sur le carreau refroidie en essayant de ne pas penser sur la douleur. J’ai commencée à galoper.

  En galopant, Je lui regardée dans la dernière fois.

  Et c’était la dernière fois que jamais. 

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2 juin 2015

Chapitre 3

Octobre, 1788.
Du point de vue de Lorraine.

  Des cinq années se sont passé depuis que je suis arrivé à ce château. J’ai monté à ma jument dans plaines verdoyantes près du château sans selle, lorsque les seules rênes sont la crinière du cheval. J’aime sentir le vent sur mon visage et comment elle joue mes cheveux. J’aime voir comment la jument court librement, sans aucun équipement qui pèse lourdement à lui.

  Quand je monte à cheval, je me sens si calme et paisible. Quand je monte à cheval, je me sens que le monde entier est dans mes mains. L’équitation me donne le temps pour moi-même ; Le temps de penser des pensées profondes de ma vie, en particulier mon passé, et mon identité.

  Mais peu importe combien je essaie d'oublier, pense à d'autres choses ... Je ne oublierai jamais cet incendie. Je me souviens de tout en détail, je me souviens comme si c’était hier ... même si j’étais très jeune à l'époque. Je me souviens surtout mon père, que je n’avais jamais lui revu depuis. Je me souviens comment j’ai monté à notre cheval à appeler au secours, et je suis tombé sur Gilles, mon père adoptif. Il m'a dit que mon père n’avait aucune chance de survivre et il a généreusement décidé de m’adopter.

  Et ma mère .... Je n’ai jamais appris à la connaître. Son nom fut Évelyne-Lorraine, elle a été nommée ainsi parce qu'elle est née et a grandi dans la province de Lorraine ; Et comme un geste, mes parents m’ont appelé Lorraine.

  Cependant, pour une raison quelconque, Gilles tenta de supprimer ma relation à la famille précédente. Une fois, il a décidé à changer mon nom à Roxanne (parce qu’il est assez similaire à Lorraine). J’ai insisté et finalement, nous avons deux décidés m’appeler Roxanne -Lorraine. Mais franchement, je n’ai compris pas pourquoi, il et mon père étaient de bons amis depuis avant je suis née, et il avait l'habitude de visiter plusieurs fois l’auberge de mon père.

  Le monde peut être parfois simplement confus.

  Je me suis allée à cette équitation pour effacer mes pensées de la tête. Bien que les pensées quotidiennes aient été expulsées, les pensées meurtrières les ont été remplacées. Pensée sur le passé.

2 juin 2015

Chapitre 2

  Au dîner, je ne pouvais pas d'arrêter de regarder ma fille. Ce n’était pas parce qu’elle dévorait sa soupe comme un homme préhistorique, mais pour de tout autres raisons. Je me suis rappelé ce jour-là pour une raison que je l’ai adopté.

1783

   Après de longues journées de voyage, La calèche luxueuse s’est arrêtée à côté d'un petit château. Autour du château étaient des jardins, le château s’était entouré d'une clôture. C’était mon château. Nous sommes voyagés à ce château pendant  longtemps, parce que le château est situé près de Versailles lorsque j’ai trouvé Lorraine près de Grenoble.

  - Bienvenue chez nous, Mademoiselle Lorraine. A dit Adélaïde.

  - Mais je ne veux pas être appelée Mademoiselle !  Cria Lorraine terrifiée.

  - Ma petite stupide, nous ne changeons pas votre nom. Mademoiselle cette un surnom noble. Expliqua Adélaïde. 

 Je lui ai regardé un peu nerveux. Je voulais bien changer le nom de Lorraine, je n’aimais pas ce nom.

  Adélaïde a ri légèrement.

  - On va vous acheter une nouvelle robe, nous allons vous coiffer et vous vous faire comme une nouvelle. 

  - Mais qu'en est-il mon père? Il est retrouvé sur le sol avec un trou rouge dans le dos en criant qu'il n’est pas un aristocrate.

  - Votre père ...  Commençais-je à expliquer en soupirant.

  - est comme une horloge. Oui. Nous sommes tous des horloges. Et à un moment donné, nous avons manqué de temps et nous s’arrêtons à fonctionner pour toujours ... 

  - Cela signifie que nous avons des engrenages à l'intérieur? Super! 

  - Pas exactement, mais .... Vous pourriez dire. Et votre père son temps est écoulé. Et il faut donc à acheter une nouvelle horloge.

  - Ah, vous êtes mon horloge? Où est les heures ?  Se demanda Lorraine confus.

  - Je savais que j’avais apporté un mauvais exemple ...  Murmura-je et j’ai giflé le front.

  - Oubliez ça.

  Donc nous emmenâmes Lorraine dans notre château pour lui montrer sa nouvelle maison. Elle était enthousiaste et a dit que le château est beau que son auberge. La première chose que nous ferrâmes quand nous entrâmes au château, c’est donner à Lorraine des raisins.

  Lorraine affirma que les raisins étaient les raisins les plus délicieux qu’elle jamais mangé, leur saveur était douce et ils étaient difficiles, grande et froide comme elle aime.

  - Dès le début d'une vie nouvelle Mademoiselle Lorraine. Vous êtes une des gens rares et uniques en France qui ont une chance de changer leur statut. Noblesse. A partir d'aujourd'hui  vous êtes une noble, vous devriez être heureuse. Déclarais-je et tapotais l’épaule de Lorraine.

  - Noble? C’est quoi? 

  Je lui ai expliqué.

  - En France, les gens sont divisés en trois ordres. La Noblesse, le Clergé et le Tiers état. Vous étiez du tiers état et je de la noblesse, beaucoup plus élevé et respecté. Vous ne pouvez pas passer entre les ordres, mais alors vous êtes tombée occasion spéciale.

  - Euh mais pourquoi le tiers état n’a pas de nom particulier?

  - Euh, Il est si faible et désordonné que les gens n’ont pas pris la peine pour le trouver un nom. Mais il ne doit pas à se soucier une noble comme vous

  - Je ne veux pas être une noble, c’est trop royal. Puis-je être un prêtre? J’ai toujours voulu marier des gens! 

  - Vous ne pouvez pas être un prêtre. Tout d'abord vous êtes une fille, et d'autre part vous êtes encore petite, un prêtre n’est pas seulement marier des gens. Il a d'autres rôles. Et il exige des compétences et ...  Commençais-je à expliquer, Mais tout à coup je m’arrêtais et me mit à dire. « En bref, vous ne pouvez pas être un prêtre. »

 

31 mai 2015

Chapitre 1

L'homme en noir 

1788
Du point de vue de Gilles.

  « La journée la plus heureuse s'est devenue la journée la plus triste, quand les fêtes du petit compte de Brauntonnien s'est ruinées lorsque son père a été soudainement empoisonné. Le tueur n'a encore pas été trouvé, mais dans ce jour fatidique, l'homme le plus intelligent en France et même dans le monde s'est disparu. Depuis, personne ne lui a vue. Seulement un livre perdu et oublié restait dans les mains du le plus jeune serviteur. Cet homme, nommé Noël de Carlodieu, savait les secrets les plus mystérieux dans le monde, et même les secrets du temps.  »

  J’ai regardé encore et encore la mystérieuse lettre que j’ai reçu il y a si longtemps.

  Le papier était vieux et froissé. Depuis que j’ai reçu cette lettre,  elle me perturba pendant de vingt ans ; Et pourtant, je n’arrive pas oublier ce jour maudit où mon père a été assassiné, mon but était unique et clair, trouver le tueur et venger la mort de mon père.

  La triste ironie est que mon père et mon grand-père ont été assassinés, c’est-à-dire que je vais probablement à mourir aussi ! Je ne sais pas le point de début dans le temps à partir duquel, dans certains ans, je mourrai.

  La lettre était plongée dans un tiroir verrouillé sur mon bureau. Mais Comme il était loin de moi pendant tout ce temps, situé parmi mes papiers, il semblait toujours qu’elle me poursuit. Cette lettre me suit partout depuis ma jeunesse, donc je l'ai reçu le lendemain de l'assassinat de mon père.

  Je ne savais pas du tout de quel serviteur est le plus ancien ... dans le château de mon père il y avait beaucoup de serviteurs. N’importe pas comment je l’ai recherché, je ne l'ai pas trouvé. Je savais bien que si je trouverai le livre, je pourrai savoir qui est dont le tueur.

  Personne ne sait à propos de cette lettre, pas même ma femme, pas ma fille, du tout. Et je préfère continuer à garder le secret.

  Avec un soupir, j’ai plié la lettre et l'ai mis profonde dans le tiroir, sous toute la paperasse. Je l’ai fermé bien.

  Soudain, il y eut un coup à la porte. 

   - Oui, Ai-je exclamé avec indifférence.

  Le serviteur ouvrit la porte et s’arrêta.

  -  Monsieur Brauntonnien, vous avez un visiteur.

  - Qui est le grossier qui ose venir ici sans une réservation?  Ai-je demandé agacé.

   Dans la chambre entra un personnage sombre et inconnu, vêtu d'une cape noire. Sa tête était couverte d'un capuchon, et elle baissa les yeux.

  - Ah, c’est vous …

  - Je sais de votre lettre, Monsieur Brauntonnien. A dit le personnage froidement.

  - Je vous ai dit cent fois que je ne veux pas coopérer avec vous!

   - Même si elle fera de vous l'homme le plus puissant en France? Et même en Europe?

  - Sortez d'ici, sinon j’appelle la garde!

  - Dommage, Gilles. Vous avez une chance de réaliser la vision de votre père et de votre grand-père ... leur plus grand rêve ... et compenser le fait qu'ils ont été assassinés.

   - Qui ... qui êtes-vous? Ai-je demandé avec inquiétude. « Comment savez-vous à ce sujet ... »

   - Je sais tout. Je sais aussi que vous avez un amour secret pour la mode.

   J’ai rougit avec un peu honte.

  - Qui ... qui êtes-vous?  Ai-je demandé avec inquiétude.

  - Mais comment le savez-vous … 

  - Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous faire du mal. J’ai juste besoin de votre aide. 

  - Laissez-moi tranquillement ! J’ai assez de problèmes sur ma tête!

  - Vous êtes très têtu, mon ami.

  - Montrez-moi votre visage ; Pourquoi quelqu'un essaie bien donc cacher son visage!

  - Eh bien, il vaut mieux ne pas le voir.

  - Si vous voulez que je coopérerai avec vous, me montrer votre visage.

  Après quatre ans où cet homme me dérange, enfin je vais voir son visage. L'homme enlèvera son capuchon et en face de moi il a été révélé. J’étais horrifié.

  - Votre tête est en fait une citrouille ....

  - C’est ça, c’est pourquoi je vous ai dit qu’il n’est pas recommandé à voir mon visage, mo chara DAOR

   J’ai regardé l'homme avec tête de citrouille terrifié.

  -  Qu'est-ce ... qu'est-ce que vous dites en ce moment? Qu’est-ce que cette langue ? 

  L'homme m'a ignoré et a couvert sa tête avec un capuchon.

  - Et maintenant, quel est votre but?

  - Je ne peux pas vous dire que mes objectifs. Mais l'un de vos serviteurs avoir quelque chose dont j’ai besoin. 

  - Au sujet de ... au sujet de quoi parlez-vous? 

  - Le livre des inventions de Clone, monsieur. 

  - Quoi? Jamais entendu parler de lui. 

  - Il est temps d'entendre. C’est un livre d'inventeur de votre père. A l'intérieur il y a des inventions qui peuvent changer le monde que nous connaissons. 

  - Les inventions de Clone ?

  - Croyez-moi, vous le faite. De raison de ce serviteur, il est exactement qui vous cherchez. 

  - Le serviteur que je cherche? 

  Je me suis horrifié. Cet étranger probablement sait sur ce livre maudit, et c’est-à-dire que je pourrai trouver l’assassin ! Mais… Qui est Clone exactement ?

  - Oui. Il vous accompagne toute votre vie. Du château de votre père, il était en fin le serviteur le plus jeune, l'âge que vous. Mais lors vous déménagea vivre seul dans votre château, près de Versailles, le serviteur est venu avec vous. Au nouveau château, le serviteur devient le plus ancien, parce que vous avez embauché de nouveaux serviteurs.

  - Qu'est-ce que racontez-vous?  Ai-je demandé confus.

 - Ce livre compris une invention que si vous le possédiez, vous pouviez venger tout le tort qui s’est causé à ton père. 

  - Quoi ... vous me faites peur, monsieur. 

  - Quoi qu'il en soit, vous voulez me aider ou pas? 

  - Pourquoi devrais-je vous aider?

  - Parce que je sais comment trouver l’homme qui a ruiné et sangloté votre vie. 

31 mai 2015

Le premier tome !

'Perdu dans la Révolution' est un roman en cinq tomes.

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 Le prmier tome se déroule durant 1788-1792 et son nom est ORPHELINS CONTRE LE MONDE.


1 - Nobles et sur rien
2 - La quête 
3 - Les enfants de la révolution
4 - L'inventeur en bleu

 

 

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29 mai 2015

Imaginer

perdu dans le temps

Imaginez.
Imaginez que vous étiez la seule personne sur la terre. Imaginez que vous auriez pu faire seulement ce qui viendra à votre esprit. Courir, sauter, nager dans le lac et ... plonger dans vos passions. Personne n'est pas là pour vous juger ou vous critiquer ; Vous être le souverain. 
Mais si on était les seuls sur la terre, le monde deviendra plus effrayant, inconnu et dangereux ... ensembles, nous sommes protégés, et unis ... nous sommes invaincus . Mais est-ce toujours bon être parmi gens ? Est-ce bon à laisser à la société construire notre vie ?

C'est le temps de commencer à penser tout seul, sous l'aide de la société . 

 

Voilà, vous savez à penser. Vous êtes libre des chaînes de la société. Bienvenue ! 

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Bievenue !

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Perdu dans la révolution
  • La vie nous cuisine une nouvelle aventure jour par jour, mois par mois, saison par saison. Nous ne savons pas que ira que se déroula ; Mais quand on marche sur le chemin de la vie, on écrit dans le même temps un livre extraordinaire, la livre de nous vie.
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